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Survol

Titre

 HISTOIRE DE L’ÉCOLE 

SURVOL             (Tableaux  1 à 7 )

Pour une mission de reconnaissance

À travers le temps, de nombreux témoignages d’anciens élèves ou d’anciens membres du personnel soulignent leur plaisir et leur fierté d’avoir étudié ou travaillé à St-Ex. D’ailleurs, l’existence même de l’Association des anciens et la forte fréquentation de son site Web démontrent cet attachement. Le comité de l’historique veut en retracer le filon directeur. Il vous invite à faire ce survol, en parlant :

  • des valeurs transmises ;
  • de la mentalité créée ;
  • d’événements significatifs.

Dessine-moi une école

Le nom choisi pour l’école, par les commissaires de l’époque, est celui d’Antoine de Saint-Exupéry.

Dans le hall d’entrée principale, vous avez tout loisir de regarder 19 tableaux relatant et illustrant la vie de cet homme, écrivain et pilote, né en France en 1900.

L’aviateur, le poète, ses œuvres littéraires nombreuses, dont la plus connue de toutes, «Le Petit Prince», nous ont souvent inspirés.

En voici quelques exemples :

Vol de Nuit, L’Explo et L’Odyssée d’Antoine
Pour le journal étudiant à différentes époques ; 

Le Courrier de St-Ex,
Titre du bulletin d’information de l’Association des anciens;

La Coopérative Le Petit Prince,
Pour les effets scolaires ;

La Caisse populaire St-Ex ; 

Cinantex, 
Pour le ciné-club ;

Les deux murales d'aluminium,
Oeuvre de Jordi Bonet, ornent les murs de chaque
côté de la porte centrale de l’auditorium; 

 

Vol-Performance YUL,
Le plan de valorisation des élèves conçu à partir
du cheminement d’un pilote;

Reportex,
Pour un reportage des élèves de la 5e secondaire
sur le système scolaire à St-Ex;

Le Réverbère, 
Nom donné au communiqué interne de l’école;

Le sigle de l’école 
Avec le Petit Prince sur sa planète; 

Trois grandes murales,
Peintes par les élèves et reproduisant des dessins
de cet auteur, ont longtemps enjolivé les corridors.

 

Bas Carte

Dans «Le Petit Prince», ce dernier demande à l’aviateur : «dessine-moi un mouton».
De même, on aurait pu dire : «dessine-moi une école».
Pour en savoir davantage sur l’origine du nom, Tableau 1.

Une école : Sa construction... Ses modifications

Au cours des années soixante, le ministère de l’Éducation instaure les polyvalentes où l’enseignement général et l’enseignement professionnel sont offerts dans un même établissement, grâce au regroupement des élèves, à la diversité des matières et aux équipements spécialisés. 

C’est dans ce contexte que l’école Antoine-de-Saint-Exupéry ouvre ses portes pour l’année scolaire 1972-1973, afin de desservir les élèves de Saint-Léonard, secteur francophone, de la 2e à la 5e secondaire ainsi qu’à certains de l’adaptation scolaire de la Commission scolaire Jérôme-Le Royer. L’inauguration a lieu le 18 mai 1973.

Pour revivre la construction et l’inauguration, tableau 2 , retrouvez : Robert Bureau, tableau 3, retrouvez : Robert Bureau, André Brûlé, René Bergeron, Francine Pellerin, Robert Fortier, Jocelyne Chaussé, Jean-Guy Camirand.

Cet établissement, bâti sur deux étages, connaît, au cours des ans, de multiples transformations :

1973                  Le bloc sportif est finalisé;  

1983                  Une piscine intérieure est ajoutée; 

86-89                Une majorité des ateliers du secteur professionnel est démantelée; 

90-99                Un aménagement paysager métamorphose magnifiquement le terrain avant de l’école ; 

2001                  Une aile est construite pour l’arrivée de la première secondaire ; 

2002                  Une aile est construite pour la formation des adultes. 
                              L’aire de stationnement est ainsi grandement modifiée.

Cette école naît d’un rêve, celui de créer un milieu ayant pour caractéristique de favoriser :

  • Un contact privilégié prof/ élève ;
  • L’apprentissage de l’autonomie et de la liberté.
  1. Robert Bureau, le premier directeur, son équipe de direction et d’enseignants choisissent les horaires modulaires flexibles (HMF) afin de se doter d’une organisation scolaire et d’un régime pédagogique répondant à ces objectifs.


Bien que le règne des HMF ne puisse être maintenu qu’une dizaine d’années, tous les autres types d’horaire qui ont cours à St-Ex respectent toujours le principe fondamental de favoriser une personnalisation de l’enseignement, de l’encadrement et de faciliter la vie étudiante.

Durant les premiers 35 ans de son histoire, huit directeurs se succèdent. Parmi ses nombreux directeurs adjoints (environ 40), trois d’entre eux seront promus directeurs de St-Ex. Le personnel y est relativement stable ; plusieurs y travailleront jusqu’au moment de leur retraite avec engagement et dynamisme. Cette vitalité se manifeste dans le déroulement de la vie au quotidien :

  • Gestion du matin
  • Cours d’éducation physique
  • Rencontre de groupes
  • Surveillance de la place publique
  • Prêt de volumes
  • Cours de géographie
  • Réunions des chefs de groupes
  • Pratique de théâtre
  • Téléphones aux parents
  • Opération choix de cours
  • Impression de documents
  • Support linguistique
  • Centres de ressources
  • Entrevue individuelle
  • Centraide
  • Dîner à la pastorale
  • Plan d’intervention
  • Discussion de cas
  • Imprimerie de documents
  • Comité des valeurs
  • Sorties éducatives
  • Lab de physique
  • Compétitions
  • Suivi des absences
  • Organisation des stages
  • Consultation en santé
  • Cours de français
  • Interventions disciplinaires
  • Lutte au tabagisme
  • Sorties éducatives
  • Récréation du matin
  • Compétitions
  • Réunion syndicale
  • Révision de projet
  • Exposition d’art
  • Rencontre de parents
  • Correction d’examens
  • Réunions du CPEPE
  • Entretien des locaux
  • Support de l’intervenant
  • Consignation des notes

 


En majorité, le personnel de cette école œuvre à St-Ex plus qu’il n’y travaille. C’est ce qui a fait et fait encore la force de cette institution.

Environ quinze mille élèves fréquentent St-Ex depuis son ouverture. Au tout début, elle en compte 2200 par année; ce nombre fluctuera entre 1400 et 2000 par la suite. Cette école francophone accueillera, parmi eux, des jeunes d’origines diverses. En 1972, on compte une vingtaine d’ethnies, en 1992, une cinquantaine et en 2008, on en dénombre 76.

Tout au long de ces années, St-Ex reçoit une clientèle hétérogène et aux parcours scolaires variés. La formation générale et la formation professionnelle (offerte pendant une quinzaine d’années), avec leur système d’options, permettent à chacun de développer ses talents et d’accéder à son rêve de devenir informaticienne, pompier, mécanicien, scientifique, médecin, enseignante, comédienne, etc. Un grand nombre réussira; les fiches des anciens en témoignent.

Au cours des ans, s’ajoutent :

1992, un programme sports-études
1997, un programme pour les classes d’accueil ;
2002, un programme langue-études.

 

L’école étant désignée pour recevoir une clientèle en adaptation scolaire, on retrouve dans les classes spéciales  des élèves présentant tantôt, une déficience intellectuelle légère avec ou sans troubles associés, tantôt, des difficultés d’apprentissage avec ou sans troubles de comportement.

Parmi toutes ces clientèles, un certain nombre d’élèves bénéficient de mesures d’aide ponctuelles ou à plus long terme, tant au niveau pédagogique qu’au niveau personnel ou social. L’équipe scolaire travaille en collaboration avec les parents et les ressources communautaires.

Plusieurs anciens disent clairement avoir évolué avec succès, entre autres, grâce aux valeurs de respect et d’autonomie si chères à
St-Ex. En majorité, les élèves gardent de leur passage, un bon souvenir.

Au fil des ans, le personnel de l’école crée des liens de plus en plus étroits avec la communauté de Saint-Léonard.
  • Un partage de services, d’espaces, une collaboration à travers plusieurs événements, dont entre autres, les Jeux du Québec (hiver 1983) alimentent régulièrement ce lien.
  • L’exposition «Le petit Prince dans sa cité» au printemps 2005 maintient cette tradition.

 
Tableau 4, Michel Soumis, Armand Gaudreault, Hubert De Palma, Bernard Bonin, Renée Aubin, Fernand Malo, Micheline Loranger, Claude Saint-Jean, J.-Guy Camirand, Guy Maillé, André Soucy, 
Tableau 5, Josée Alarie, Nicole Vajda, Emilio Panetta,
Tableau 6, Normand Desmarteau, Jacques Armstrong,
Tableau 7, J.-Guy Camirand, Normand, Desmarteau.

Une école, milieu de vie

 UNE ÉCOLE, MILIEU DE VIE

Retrouvez cette école et sa vision particulière. Le tableau-synthèse ci-dessous résume
très bien la mentalité qu’on a voulue y créer et les moyens choisis pour y accéder.

Créer des liens, c’est important

Pour

L’apprentissage

De l’autonomie

De la responsabilité

De la liberté

Des savoirs

Par

Une pédagogie adaptée

Contact prof-élève privilégié

Gestion de temps souple

Support technologique

Par

Une vie interethnique enrichissante

Structure d’accueil

Respect des différences

Ouverture sur le monde

Par

Une vie étudiante dynamique

Sentiment d'appartenance

Implication énergisante

Climat humanisant

Par

Un encadrement personnalisé

Réponse aux besoins des jeunes

Intervention adéquate

Valorisation continue

Avec

Une équipe-école engagée

Dans

La communauté de Saint-Léonard

En

Continuité avec l’Association des anciens

Bottom

L’école secondaire

ANTOINE–DE–SAINT-EXUPÉRY 

. . . au service de nos jeunes depuis 35 ans . . .

Poursuivons cette histoire par décennies.

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